MagicManu.com

[erondesign]

jai besoin d'aide , sa devient urgent :/ ji taff depuis pas mal de temp et tout se que javai fait jusque la est faux :/
jairais besoin de savoir quelle plan , idéés principale tireriez vous de se sujet : la conscience d'etre libre peut elle etre illusoir ?

je suis dans la cata jai etait voir mon prof de philo se matin pour le demander si se que javai fait etait bon mais enfait nan , il faut que je recomence pour demain :/

javais prevu de mettre dans mon intro la definition de conscience ,et illusoir , mais apres je bloque

help me please

[Txabi]

Au pif, tu peux dire que la liberté est une condition dont chacun a sa vision. Pour certains, le simple fait d'être citoyen et d'être assujetis aux lois est une absence de liberté, pour d'autre, le respect des lois permet une pleine et entière liberté (les lois n'étant qu'un aspect parmis tant d'autres). Tu peux jouer là-dessus en donnant autant d'exemples que tu trouves afin de faire ressortir que la subjectivité de la liberté peut rendre notre vision de la chose éronnée. De ce fait, on peut se croire libre sans l'être.

En fait, évite de faire ça, j'pense que tu passerais à coté.

[furiousniggaz]

j'ai ouie dire(je kif cette expression) que le seuil de renouvellement était atteint en France avec une moyenne d'un peu plus de 2 enfants par femmes,donc plus besoin de se prendre la tete magicmax et magicmax

[scange]

[furiousniggaz]

je me coucherai moins bète!

merci scange!

[67 en force]

Olaa la philo c'est un truc de malade sa , un pote a moi ma montrez des dissertes

[Telip 2010]

Avant de penser à la philo, faudrait deja se concentrer sur le français.

[antony87]

[-ponk-]

[LATINA]

FAUT-IL PREFERER L'INJUSTICE AU DESORDRE ?

. Selon le dictionnaire (Larousse) l’ordre est la manière dont les éléments d’un ensemble sont agencés comme l’ordre alphabétique par exemple. Le désordre est la manifestation d’un manque d’ordre. Il y a alors confusion, manque d’organisation. Enfin, l’injustice a comme caractère de ne pas être conforme à la justice, à l’équité. Elle est donc contraire à la justice régie par les lois de la Cité. La question est donc de savoir s’il est préférable d’opter pour des actes injustes selon nos lois afin de garder la société ordonnée ou s’il faut la laisser se désorganiser de peur de commettre une injustice. Pour trouver une réponse, il semble nécessaire d’analyser dans un premier temps la justice, puis l’ordre et enfin de conclure.

. La justice est vue, peut-être naïvement, principalement comme une notion d’équité mais aussi comme une valeur morale.
En effet, le juste nous semble conforme à une certaine raison et une vérité. Ce qui est juste est tel qu’il doit l’être, en toute équité – en fonction des actes. Par exemple, nous trouvons juste qu’un sujet possède des biens proportionnellement à son travail. Nous y plaçons une notion de mérite. Ce qui est juste est mérité. Cela nous semble ainsi raisonnable qu’un tel ait ses biens. Par contre, nous trouvons déraisonnable que quelqu’un ait des biens sans les mériter ; que ce soit par chance ou par des moyens injustes. Nous trouvons souvent injuste que quelqu’un hérite d’une fortune et n’ait pas besoin de travailler. En effet, il ne connaît pas la difficulté avec laquelle son ancêtre a trouvé le mérite de gagner cette fortune. De plus, les moyens immoraux d’obtenir ces biens, contradictoires à nos lois, tels que le vol ou le meurtre, nous choquent. C’est ça le juste, chaque sujet a ce qu’il mérite et les autres sujets ne doivent pas convoiter les biens de leur prochain ou de leur voisin comme leur enseigne leur religion. Ainsi, la cité vie dans un régime équitable, juste et moral. Mais la justice leur permet donc à chacun de s’accomplir, tant que la cité est organisée, en ordre, chacun peut donc travailler – cultiver son jardin – et obtenir ce qu’il mérite.
C’est pour cela que le désordre peut déranger et semble injuste.

. En effet, le désordre est le manque d’organisation, il peut peut-être empêcher la cité de s’accomplir et la faire échouer, mais sous quelles formes se manifestent-il et que faut-il en penser ?
Le désordre, est dans un premier temps, comme expliqué précédemment, l’absence d’ordre. L’ordre, c’est l’organisation des éléments d’un tout. Dans cette organisation, chaque partie du tout a une fonction définie pour que l’ensemble puisse avancer. Sans cet ordre, chaque élément n’aurait donc plus de sens et le tout s’effondrerait. Le désordre peut donc entraîner la chute d’une cité. L’ordre nous paraît dans notre société actuelle comme un univers calme, sûr. Toutefois, le désordre ne se manifeste pas forcément par des actes de violence ou par le chaos. Le désordre n’est que l’absence de règles, ce qui fait que chaque élément est régi par des évènements ponctuels et aléatoires, parfois contradictoires à ceux que connaissent les autres éléments. Ledit désordre n’est donc pas forcément une notion de guerre et d’anarchie au sein de la société mais il paraît préférable d’annoncer des lois offrant de l’ordre dans l’ensemble des choses. Toutefois, il reste à déterminer si ces lois seront injustes envers les éléments de la cité. Mais comme l’ordre est essentiel dans la cohésion des sujets, si une injustice, dictée par les lois, est irrémédiable, il ne s’offre guère de solution pour y échapper et cette injustice semble préférable au désordre. Cependant, ces injustices doivent rester ponctuelles et ne pas être le fil d’Ariane de notre société. Enfin, il reste à préciser que ces idées reposent sur nos valeurs morales. C’est notre moral qui nous dit ce qui est juste ou injuste à travers notre conscience. Si une religion et sa cité enseignent à toute une communauté depuis des générations d’autres valeurs, leur perception du juste et de l’injuste en sera donc différente. Ainsi, ce qui leur semblerait juste serait peut-être injuste pour nous, et vice et versa.

. Dans l’idée de permettre à notre société de subsister dans notre monde, l’ordre se dicte à nous même dans notre inconscient. A notre connaissance, aucune société n’a encore pu vivre sans foie ni lois dès qu’elle a pris de l’ampleur. Cette notion d’ordre lui est donc vitale comme elle l’est à chaque membre. Cet ordre, au fil des générations, dit aux sujets ce qui est juste et ce qui ne l’est pas – car c’est lui qui dicte l’ordre des choses. Toutefois, il se peut que pour sauvegarder la cité dans son organisation, une injustice puisse se produire. Dans la mesure où le désordre peut entraîner la mort de la cité, il semble donc préférable d’y préférer l’injustice tant qu’elle reste ponctuelle dans la fin de permettre aux éléments de la cité de continuer à vivre dans la justice et le mérite. Cette injustice ponctuelle contre le désordre n’est donc en fait qu’un acte global de justice.


A vous !