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neotun So Freestyle


Age: 98 Inscrit le: 19 Juin 2003 Messages: 7049 Réalisations: 7
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Bonsoir à tous, une "petite" histoire, extraite du livret du CD Episode 2 : Medecine Cake de Pleymo .
C'est certe un peu long, mais je trouve qu'elle vaut le coup
L'histoire commence en 1977, en Sibérie, dans la région de Novossbirsk, à Niebrovski très exactement. Sur un site jugé riche en minéraux rares, une importante équipe de chercheurs s'installe et perfore le sol à 200 mètres de profondeur. Des grues sont installées ainsi que toute une infrastructure de recherche pointue. C'est alors qu'ils découvrent l'inracontable ... des centaines de couloirs secrets, des laboratoires en ruines, de vieilles voitures enfouies sous la terre et du matériel médical. Les chercheurs descendirent alors par dizaines dans les couloirs qui semblaient encore intacts... les autorités sont alors prévenues, face à une telle découverte archéologique, les scientifiques se devaient d'en savoir plus. Des spécialistes viennent à leur tour sur les lieux, et le site entier est alors protégé de toutes les lumières extérieures, car les inscriptions sur les murs, avec la lumière et le vent, commencent à s'effacer, comme la poussière. Après plusieurs mois passés à décrypter, déchiffrer, décoder les données, le conseil déclara aux autorités qu'il s'agissait d'une sorte d'hôpital souterrain, avec des salles de réanimations, des salles d'opération, du matériel médical, régulier et irrégulier, et de longs couloirs, donnant sur d'immenses salles en briques ... de l'eau jonchait le sol... comme des égouts. Le gouvernement d'ex URSS consulta en haut lieu tous les fichier possibles et imaginables concernant la construction d'hôpitaux, voire de site d'entraînement ou de recherches scientifiques : rien ne figurait sur la liste ...
Cinq ans plus tard, en 1982, alors que l'affaire avait été gelée pour des raisons géopolitiques, les recherches reprirent car le corps médical soviétique ne pouvait toléré un tel incident et surtout une telle inconnue dans les rangs. C'est ainsi qu'on mis la main sur l'une des plus incroyables énigmes jamais résolues : des valises de documents entières, cachées dans des coffres insérés dans les murs. Après analyses des constructions et des matériaux, il s'avéra que cet immense hôpital avait été construit aux alentours de 1929 – 1930 et que les briques avaient été fabriquées en Chine et dans les montagnes du Sayan. Les documents photographiques, manuscrit, fiches, furent scrutés à la loupe. Le nom d'un certain docteur Kantovitch Volodim revenait souvent dans les notes et certificats. D'après la liste des médecins de l'époque, ce dernier n'était autre qu'un simple médecin généraliste de la ville de Dniepropetrovsk ; une vie sans histoire. Il est décédé en 1954 à la suite d'un accident. Le KGB interrogea alors son fils, médecin lui aussi, qui raconta qu'il fut emmené par sa mère à St Petersbourg à l'âge de 5 ans et qu'il n'avait jamais plus revu son père.
Qui pouvait donc être ce Docteur Kantovitch ? Le KGB passa des mois à retourner les lieux en quête d'informations. Le 16 juin 1983, une nouvelle pièce fut découverte dans les décombres. Un long couloir qui menait à une chambre frigorifique. Quarante ans après, les turbines qui l'alimentaient en électricité marchaient encore. Des stalactites ornaient les murs, des murs maculés de taches de sang, foncées par els années, mais préservées par le froid ; les agents étaient désormais formels, il s'agissait d'un hôpital peu commun, un hôpital du crime et de l'horreur. L'enquête se dénoua alors plus ou moins à partir de ce moment là. Des centaines de corps, ossements furent retrouvés, méticuleusement classés et rangés par ordre de taille, par famille médicale et après analyse par famille génétique. Il s'agissait d'une organisation de médecins chercheurs criminels, qui auraient tué pour faire des mutations génétiques durant la deuxième guerre mondiale. Cette organisation était indépendante et autonome. Malgré ces nouveaux indices, il restait aux enquêteurs de nombreuses choses à élucider. Tout d'abord le nom de Kantovitch, qui semblait être le nom officiel et le nom de Tank, Docteur Volodim Tank, qui semblait être le nom de code et de camouflage du médecin dirigeant de cette mafia médicale : ce nom ne figurait sur aucun registre des médecins, ni même au registre des naissances (certes parfois peu en ordre en Sibérie début 1900 !). Malgré la révolution de 1916, les citoyens étaient répertoriés, et aucune trace d'un certain Volodim Tank, pourtant bien actif, sur tous les manuscrits. D'autre part, le doute et l'incohérence planaient sur ces inscriptions murales, que l'on retrouvait partout dans les décombres : Médecine Cake. Qu'est ce que cela pouvait signifier ? En interrogeant des personnes âgées, de Niebrovski, certains semblaient se souvenir de ce mot, une dame parla d'une fourgonnette qui passait en ville, une autre parla d'un orge, un autre expliqua que ces hommes étaient des commerçants originaires de Grande Bretagne qui vantaient les mérites d'une alimentation médicale. Ces dires furent confirmés par un vieil homme qui se souvenait : « Les fabuleux biscuits, aux vertus bénéfiques du Docteur Tank ... ! » C'était donc ça, l'organisation Médecine Cake mélangeait commerce et chirurgie plastique.
Il fallait à présent faire le lien entre tout ça. Les témoignages et les écrits concordaient, cependant, il n'y avait rien de précis sur les actions exactes de ce groupuscule. Les années qui suivirent l'affaire piétina, le gouvernement alors en place semblait ne pas vouloir en savoir plus sur cette affaire apparemment très obscure. Pourtant deux agents du KGB, qui s'y étaient investis depuis 6 ans, décidèrent de poursuivre leur enquête seuls. Ils retournèrent sur les lieux à plusieurs reprises, équipés de casques et de combinaisons anti-froid. Les couloirs étaient sombres, voire totalement noirs. André et Sergeï passaient des heures à scruter les murs, déplacer les pierres, à la recherche du moindre indice. Un matin, Sergeï sembla entendre un bruit sourd, au fond du couloir. Au début, ils crurent à de simples éboulements, Mais ils se rendirent compte rapidement que les bruits se répétaient à différents endroits. Ils prirent peur et sortirent rapidement. Ils ne revinrent pas de si tôt, comme si quelque chose les en empêchait. Deux mois plus tard, les deux hommes furent entendus en audience au Parlement. Malgré les réticences des autorités, ils finirent par obtenir que le dossier soit reconsidéré et que les services secrets se rechargent de l'affaire. Les deux hommes furent nommés directeurs des opérations, et de ce fait, le dossier complet de l'affaire devait leur être révélé. C'est là qu'ils prirent connaissance des premiers clichés photographiques retrouvés dans les coffres : des clichés des lieux datant de 1938, des clichés des membres de Médecine Cake, et surtout, pour finir, les images du professeur Volodim Tank. Sur une vieille photo délavée par le temps, on voyait six hommes, debout dans la neige, des mitraillettes en main, l'un d'eux, le professeur Tank, portait un masque qui lui couvrait les yeux et le nez, un masque en forme de pics et une blouse de chirurgien. Une autre photo le montrait debout dans le couloir que Sergeï et André avaient découvert, l'homme portait d'énormes gants et tenait à la main une paire de ciseaux démesurée, maculée de sang. D'autres photos montraient des prisonniers, le long d'un mur, marqué su sigle Médecine Cake. Les deux hommes s'emparèrent alors du dossier et commencèrent leur enquête. Pourquoi leur avoir caché aussi longtemps l'existence de ces photos ? Sergeï était fou de rage. On avait à faire à un immense réseau criminel qui avait agi dans l'ombre pendant des années et personne ne semblait s'en affoler. (d'un autre côté, 50 ans après, l'affaire est censée être classée, le mystère ne dérangeant plus personne car inexistant au présent). Les nouvelles recherches s'achevèrent rapidement, l'essentiel des informations ayant été trouvé.
Le temps passait. Hivers 1991. Un matin, dans un hôpital de Moscou, un vieil homme lisait son journal. Dans une revue, un article relatait l'affaire « Médecine Cake ». Le vieux monsieur tressaillit. Il appela une infirmière et lui demanda d'appeler les renseignements et de demander les coordonnées de Sergeï Kalninitch. Par chance, Sergeï, agent spécial de KGB, vivait à Moscou depuis la fin de l'affaire. L'homme laissa un message sur la boîte vocale. Deux jours plus tard, Sergeï rentrait chez lui. Il entendit le message : « J'aimerais vous rencontrer au sujet de l'affaire des biscuits magiques, aux vertus bénéfiques du Docteur ... » il ne prononça pas le nom. Sergeï partit sans attendre pour l'hôpital Strogoff. Il passa deux longues heures avec Sacha, ancien détenu du Docteur Volodim Tank. Sacha raconta l'horreur, comment il était devenu handicapé depuis 45 ans, comment il s'était échappé, à demi paralysé, dans les glaces de Sibérie, ses années caché en Ukraine. La mafia Médecine Cake, les loups du Docteur Tank, Sergeï prenait des notes. Sacha se souvenait de tout, dans tous les détails.
Le Docteur Volodim Kantovitch, diplômé de l'université de St Petersbourg, partit pour Irkoutsk, en Sibérie, pour travailler sur des maladies telles que la tularémie. Il devient par la suite médecin de peuple. A la fin des années 30, il part en voyage en Angleterre. En revenant, il développe un commerce de « Produits pharmaceutiques occidentaux ». Il s'associe alors à une bande de trafiquants. Le chef, un anglais Liam Waltercross, est à l'époque recherché pour l'une des affaires de ventes d'organes. Ses associés sont tous russes. Sacha se souvenait de tous leurs noms : Youri Fiorov, Kanaj Akarov, Mikael Gomovicsk et le dernier était surnommé le loup de Rostov. En 1931, ils entreprirent la construction d'un centre de recherche génétique, de mutations sur des hommes. Pour financer cette organisation clandestine, le groupuscule vendait des biscuits paramédicaux.
Pendant que Sacha parlait, Sergeï se souvenait de tous les éléments découverts, des écrits, des dossiers, des bons de commande, des fausses feuilles de soin, tout coïncidait. Sacha continuait son récit. Il a 17 ans quand il rencontre Liam waltercross, dans un bar de Irkoutsk. Liam lui parle d'un centre d'entraînement pour jeunes, un centre de formation qui lui permettra de devenir mineur ou alpiniste, chercher en haute montagne. Jeune et naïf, Sacha ne se doute de rien. « Je ne savais pas qu'ils s'intéressait à moi parce que j'étais beau et grand, et surtout très costaud. » Sacha fut convoqué par Liam au centre. A peine arrivé là-bas, ils l'enferment et le font jeûner pendant deux jours. Sacha ne comprend rien si ce n'est qu'il s'est fait avoir et que ce centre est fictif. Il est désormais prisonnier. Au soir du deuxième jour, le loup de Rostov l'emmène, affaibli et presque inconscient, dans la salle de test. C'est alors que Sacha rencontre pour la première fois le titanesque et terrifiant Dr Tank. Jamais Sacha n'a réussi à oublier ce qu'il a ressenti de soir là. Cet homme devait mesurer plus d'un mètre quatre vingt dix. Il portait un masque à gaz en forme de pointe, et ses yeux étaient invisibles. Seules deux lumières rouges marquaient ses yeux. Le Dr Tank lui expliqua qu'il ne craignait rien ici, qu'il fallait coopérer, compatir. Toute résistance serait punie. Le loup portait sans cesse une kalachnikov, et Sacha comprit qu'il n'y avait pas d'issue. La nuit, Sacha la passa dans une cellule humide, il rencontre Stav, un grand gaillard robuste, comme lui. Stav ne parle pas, il a peur, c'est tout. Les jours se mettent à passer dans la prison-hôpital. Tous les matins, le Dr Tank passe dans les couloirs pour vérifier l'état des patients. Personne ne savait ce qu'il se passait : il en convoquait certains, qui s'alignaient le long du mur, en sélectionnait un, et ce dernier disparaissait pour toujours. Les rumeurs allaient bon train. Les détenus ne savaient pas ce qui les attendait. Sacha raconte qu'il passait des journées de terreur à redouter d'entendre les pas du tyran entrer dans le couloir. Sacha passa deux ans comme ça, jusqu'à ce que son heure sonne.
Sacha apprit dés lors qu'aucun des hommes disparus n'était mort. Ils étaient tous dans des salles à températures, d'autres dans des bocaux, d'autres sous serres. La plupart n'avaient plus la même apparence, ils avaient été déformés par le criminel qu'était le Dr Tank. Sacha pleurait en racontant. Sergeï, le ventre noué, lui demanda s'il voulait arrêter là, se calmer. Sacha ne pouvait pas, il avait gardé tout cela enfoui en lui depuis tellement d'années. Sacha fut enfermé dans une section spéciale, où l'on testait la capacité de l'homme à imiter l'animal, le poisson, ses capacités à respirer sous l'eau, son temps d'apnée. Sacha faillit mourir de nombreuses fois. Il raconta aussi comment il avait vu un de ses amis se faire déchiqueter par les ciseaux de Tank, ce dernier ne supportant pas la révolte. Il avait entendu Tank hurler : « Ferme ta gueule ». L'homme avait couru pour finalement se faire rattraper. Ils l'ont torturé pendant des heures, ils l'ont fait « danser » comme ils disaient. Sacha ne voulait pas dire, de toute façon, certaines choses ne valent pas la peine d'être racontées. Sacha avait vécu l'enfer et Sergeï en était mal à l'aise. Un jour, la posek (police spéciale) avait arrêté Akarov. La surveillance des labos baissa durant ce jour et certains prirent la fuite. Sacha aussi. Il avait quitté les souterrains du cauchemar. Depuis cet après-midi d'octobre 1936, après trois années d'enfermement sous terre, Sacha ne s'était jamais retourné. Il n'avait jamais voulu savoir si on le cherchait, si Tank était mort, si la posek l'avait arrêté. Sergeï repartit avec une cassette.
Le lendemain matin, lui et André étaient dans le bureau du secrétaire de cabinet des enquêtes. Les agents du KGB reprirent leur activité. Il fallait contacter les bureaux de la posek, retrouver les familles des disparus, retourner sur les lieux pour rendre justice. La nuit, Sergeï entendait la voix de Sacha en pleurs. Il entendait les cris du Dr Tank. Une nuit, Il se réveilla en sursaut. Il venait d'entendre des pas dans le couloir. Il alluma la lumière et sortit de sa chambre d'hôtel. Le couloir était naturellement vide. Il téléphona alors à André pour lui raconter puis se rendormit. Les recherches avançaient, des témoins furent entendus, la posek, police secrète de Sibérie, se décida enfin à livrer ses informations. Ils avaient arrêté tous les membres du Tank Club en 1941. Certains avaient été relâchés dans la nature. Le seul qu'ils n'aient jamais retrouvé était le Dr Tank. Sergeï eut un frisson d'effroi. Le Dr Tank est peut être encore en vie ? Cela n'avait finalement aucune importance, quel intérêt ? Une délégation fut mise en forme pour rechercher des traces du médecin robot. La justice voulait tout de même le retrouver. Sergeï et André, eux, travaillaient à la reconstitution des événements, des écoutes à témoins ... Un soir, alors qu'il était seul dans son bureau, Sergeï entendit un grondement sourd dans le vestibule. Il sortit en panique pour encore une fois s'apercevoir qu'il n'y avait personne. Sergeï devenait fou. Il était hanté par Volodim Tank. Le soir en rentrant chez lui, son appartement était saccagé. Sur le sol était gravé dans le bois du parquet : « Personne ne parle du Tank club ». Sergeï se mit à hurler. Il était poursuivi, cette blague tournait au drame. Il appela alors la police qui vint constater le sinistre. André rappliqua. Ce dernier pensa à une mauvaise farce. Ce sont les risques du métier.
Les jours qui suivirent furent tranquilles. Sergeï était surveillé par des agents, il continuait à travailler en paix. Il fut alors annoncer qu'un homme répondant au nom de Volodim Kant avait été contrôlé à l'aéroport de Shanghaï. Les autorités se mirent à se recherche.
Le territoire commençait à être fouillé de fond en comble, Volodim Tank était recherché dans le monde entier.
Sergeï rentra chez lui un soir. Sur la porte d'entrée était épinglée une petite feuille de papier froissé sur laquelle était écrit, au geste près, la journée de Sergeï. « Ce matin, sortie à 9h30, j'ai acheté le journal au kiosk. J'ai pris un taxi, je suis allé sur la rue Bekken Grov ... » Sergeï transpirait à grosses gouttes. Il était filé toute la journée, par un fou, sans aucun doute... La lumière de couloir s'éteint. Sergeï se retourne haletant. Derrière lui deux lumières rouges dans l'obscurité. Aucun bruit. Ce dernier retenait sa respiration. Il cligna des yeux et les feux rouges disparurent aussitôt. Sergeï s'assit par terre comme un enfant après un mauvais rêve. L'histoire commençait à le dépasser. Que lui voulait cet homme ? Etait-ce le fruit de son imagination ? Etait-il en train de devenir paranoïaque ? Impossible, le papier sur le mur racontant sa journée dans chaque détail. Ces lumières rouges, rouges comme les yeux du Dr Tank. Et si le docteur était encore en vie, encore actif ? Et si la mafia était encore en place, comme ces mafias des films qui vont de père en fils. Le téléphone retentit. Sergeï sursauta. Il ouvrit sa porte et décrocha le combiné. C'est André, il voulait le mettre en garde. En effet, les informations nationales diffusaient des images du Dr Tank, des vieilles photos. André disait qu'il valait mieux garder cette histoire secrète. Sergeï lui raconta alors son histoire de papier et des yeux rouges. André ne répondait pas, il semblait terrifié. Le lendemain, un nouveau papier sur la porte et des croix rouges dessinées au marqueur sur sa porte. Sergeï n'avait plus peur. Il se sentait face à un traquenard. Ainsi les jours passaient, vraisemblablement quelque le suivait, mais sans incident. Jusqu'à cette nuit où il regardait la télé dans canapé.
L'histoire s'arrête ici, jamais personne n'a su ce qu'il s'était réellement passé ce soir là. La voisine avait raconté aux policiers qu'elle avait entendu du raffut. André n'était pas allé aux obsèques de Sergeï, son corps n'ayant pas été retrouvé ... Dans un lit d'hôpital, près de Novosibirsk, un vieil homme se réveille tous els matins à 7h15. Il dit qu'il s'appelle Volodim. L'infirmière en a marre, il parle beaucoup, il parle beaucoup trop... |
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L'anomalie est systémique... |
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Parotech_Concept Protoxyde d’azote


Age: 31 Inscrit le: 06 Mar 2005 Messages: 4421 Réalisations: 7
Localisation: in japan :)
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ouai zaza a raison je ne doute pas sur le truc mais archi long .. et faudrait peut etre areter de faire des topic a la con a tout vien plus ca va plus ya de post HS sur ce site  |
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neotun So Freestyle


Age: 98 Inscrit le: 19 Juin 2003 Messages: 7049 Réalisations: 7
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si ça c'est trop long.... tu en a pour 2 secondes à le lire parceque ça se lit super bien, faut pas regarder la longueur...c'est comme si tu veux lire un truc sur le tuning que tu te dit que finalement c'est trop long parceque ça fait 3 pages
Et au niveau des topic HS.....je pense que celui là est beaucoup moins HS que beaucoup sur ce site....et tu m'excusera, mais dans ce cas faut virer le forum HS  |
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Parotech_Concept Protoxyde d’azote


Age: 31 Inscrit le: 06 Mar 2005 Messages: 4421 Réalisations: 7
Localisation: in japan :)
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j'ai pas dit ca et pas dit inutile non plus ( meme si c'est ce que je pense ... ) mais HS ne veut pas dire poster des truc a la con a tout vas ...
et puis il est bientot minuit toi tu poste une histoire comme ca sans resumer sans expliquer ce que c'est .. avec archi plein de ligne .. c'est sur que sa motive pour lire  |
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neotun So Freestyle


Age: 98 Inscrit le: 19 Juin 2003 Messages: 7049 Réalisations: 7
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Parotech_Concept a écrit: | j'ai pas dit ca et pas dit inutile non plus ( meme si c'est ce que je pense ... ) mais HS ne veut pas dire poster des truc a la con a tout vas ...
et puis il est bientot minuit toi tu poste une histoire comme ca sans resumer sans expliquer ce que c'est .. avec archi plein de ligne .. c'est sur que sa motive pour lire  |
je t'ais pas obliger à le lire..n'empeche que zaza est dedans , mdr |
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Parotech_Concept Protoxyde d’azote


Age: 31 Inscrit le: 06 Mar 2005 Messages: 4421 Réalisations: 7
Localisation: in japan :)
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nan mais juste un petit resumer histoire de nous mettre dans l'ambiance
on attaque pas un gigot sans avoir pris l'apero  |
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neotun So Freestyle


Age: 98 Inscrit le: 19 Juin 2003 Messages: 7049 Réalisations: 7
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Citation: | Il y'a également un histoire dans le livret : celle du Dr. Tank, qui fait le liens avec le graphisme de la pochette du CD |
source
la pochette
ça te vas ? |
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L'anomalie est systémique... |
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zaza Juge


Age: 29 Inscrit le: 12 Juin 2003 Messages: 2949 Réalisations: 24
Localisation: Gap
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C'est bien beau quand meme , mais fantastique . On croiré a des moments que c'est reel
GG neo  |
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neotun So Freestyle


Age: 98 Inscrit le: 19 Juin 2003 Messages: 7049 Réalisations: 7
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ouai c'est sympa, faut juste se mêtre dedans
Comme on disais sur msn, un court métrage serait terrible
[edit] ouai, pour le moment ya 2 courageux  |
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L'anomalie est systémique...
Dernière édition par neotun le 08 Jan 2006 1:17; édité 1 fois |
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Alpha Averti: 1 fois Protoxyde d’azote


Age: 28 Inscrit le: 11 Juil 2004 Messages: 2275 Pas de réalisation
Localisation: Québec,Canada
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j'ai beaucoup aimé l'histoire elle est vraiment bien |
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Wally Actuellement banni Protoxyde d’azote

Age: 31 Inscrit le: 17 Mar 2004 Messages: 4019 Réalisations: 9
Localisation: Marseille
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C'est sympa!
Il y a une suite ?
Paro > Qu'un texte long de plus de 10 lignes sans images t'ennuie, ok. Mais ça peut en interesser d'autres, tu peux pas décréter d'un coup tout seul qu'il s'agit d'un "topic à la con" Et puis comme dirait l'autre, si t'aimes pas ce topic il y a toujours la croix en haut à droite... |
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Parotech_Concept Protoxyde d’azote


Age: 31 Inscrit le: 06 Mar 2005 Messages: 4421 Réalisations: 7
Localisation: in japan :)
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merci c'est mieu et enfaite clair le resumer ca aurait été chaud je serai incapable de pouvoir resumer ca ..
j'ai pas tout capter mais pas si ininteressant
j'ai pas dit que j'aimait pas puisque j'ai lu ...
et puis desolé mais pour moi un bouquin c'est comme un film je vait pas le voir tant que j'ai pas de resumer avant ... |
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